Crier pour réduire au silence
Lors d’un grand débat politique l’an dernier, un homme ne cessait de crier ses réponses, de parler en même temps que les autres candidats et de rire lorsque ses adversaires lui répondaient. Pourquoi agissait-il ainsi ? Il cherchait à réduire les autres au silence avec son boucan.
Y ATIL LIEU D’ESPÉRER ?
Je me suis assise en silence près de la tombe de mon père, attendant que commence l’enterrement privé de ma mère en famille. Le directeur des funérailles a apporté l’urne cinéraire. J’avais le cœur en charpie et la tête embrumée. Comment vaisje bien pouvoir surmonter leur perte à tous les deux à seulement trois mois d’intervalle ? Dans mon deuil, j’éprouvais de la solitude et un peu de désespoir devant un avenir sans eux.
LA PARABOLE DE LA PIQÛRE
Je me rappelle encore l’air choqué de Jay Elliott lorsque, il y a près de cinquante ans, je suis entré chez lui en coup de vent par la porte avant poursuivi par un essaim d’abeilles. En ressortant aussitôt par la porte arrière, j’ai constaté que j’avais semé les abeilles… dans la maison de Jay ! Peu après, celui-ci en est sorti à son tour au pas de course par la porte arrière, avec à ses trousses l’essaim que je lui avais apporté.
Renouvelée
Elle est l’incarnation de la beauté intérieure et extérieure. Toutefois, elle souffre d’une honte terrible causée par les actions d’un homme avide. Tout sauf inoffensives, ses mains ne l’ont pas seulement touchée, elles lui ont arraché son sentiment de sécurité et son honneur. C’était peut-être un jeu pour lui, de sacrifier son innocence sur l’autel d’une culture qui idolâtre le sexe. Pour elle, c’était une blessure profonde et permanente, dans son coeur et dans ses pensées.
LA PARABOLE DE LA PIQÛRE
Je me rappelle encore l’air choqué de Jay Elliott lorsque, il y a près de cinquante ans, je suis entré chez lui en coup de vent par la porte avant poursuivi par un essaim d’abeilles. En ressortant aussitôt par la porte arrière, j’ai constaté que j’avais semé les abeilles… dans la maison de Jay ! Peu après, celuici en est sorti à son tour au pas de course par la porte arrière, avec à ses trousses l’essaim que je lui avais apporté.
UNE PLUIE VIVIFIANTE
Durant les grandes chaleurs du mois d’août 1891, R. G. Dyrenforth est arrivé à Midland, Texas, déterminé à faire tomber la pluie. Connu en tant que « faiseur de pluie », lui et son équipe ont lancé et fait éclater d’immenses ballons remplis de gaz explosif, déchargé des canons et fait exploser des piles de bâtons de dynamite au sol – faisant trembler la terre et le ciel. Certains ont cru qu’il était parvenu à faire pleuvoir un peu, mais la plupart ont dit que tout ce qu’il avait fait, c’était du bruit. La puissance explosive était impressionnante, mais inefficace.
Amen
Amen ! Nous l’employons généralement à la fin de nos prières, mais Amen en dit plus long que ses quatre lettres. Ce mot est utilisé à 30 reprises dans l’Ancien Testament, principalement pour approuver une chose qui a été dite.
UNE PLUIE VIVIFIANTE
Durant les grandes chaleurs du mois d’août 1891, R. G. Dyrenforth est arrivé à Midland, Texas, déterminé à faire tomber la pluie. Connu en tant que « faiseur de pluie », lui et son équipe ont lancé et fait éclater d’immenses ballons remplis de gaz explosif, déchargé des canons et fait exploser des piles de bâtons de dynamite au sol – faisant trembler la terre et le ciel. Certains ont cru qu’il était parvenu à faire pleuvoir un peu, mais la plupart ont dit que tout ce qu’il avait fait, c’était du bruit. La puissance explosive était impressionnante, mais inefficace.
UN EXEMPLE ENCOURAGEANT
On raconte que, vers la fin des années 1800, un groupe de pasteurs européens a assisté à la conférence que D. L. Moody a donnée au Massachusetts. Conformément à leur coutume, ces pasteurs ont placé leurs souliers en dehors de leur chambre avant de se coucher, s’attendant à ce que le personnel de l’hôtel les nettoie. À leur vue, Moody a mentionné à d’autres personnes la nécessité de les nettoyer parce qu’il était au courant de cette coutume. Celles‑ci ont toutefois gardé le silence. Moody a donc ramassé tous les souliers et les a nettoyés lui‑même. Ayant rendu visite au conférencier à l’improviste, un ami a constaté ce que ce dernier venait de faire. Le mot s’est alors répandu, et les soirs suivants d’autres personnes ont nettoyé les souliers en question chacune son tour.
Honteux et dépouillés
L’aumônier de l’hôpital, Matt Marino, a reçu un appel de la chambre d’un patient. Il s’attendait à voir une personne à l’agonie, effrayée, ou en train de s’accrocher désespérément à la vie. Surpris, il s’est plutôt retrouvé devant une « femme de 23 ans d’une beauté saisissante, assise joyeusement sur son lit d’hôpital, tenant sa fille dans ses bras et bavardant avec sa famille et ses amis ». Confus, Matt a demandé calmement pourquoi on l’avait appelé.